Atelier : Izotope RX - 16/03/19
INTRODUCTION
Les programmes de restauration sonore sont maintenants largement répandus dans l’industrie du cinéma et font partie intégrante des pratiques. Cela répond en partie à l’amélioration générale de la qualité des écoutes de salles de cinéma, et donc des exigences plus poussées sur la qualité du son direct, et de la voix en particulier.
S’il existe quelques autres alternatives (comme le fameux CEDAR ou le moins connu logiciel SOUND FORGE Audio Cleaning Lab de Magix), iZotope et sa suite RX fait office de figure de proue sur le marché et possède un quasi-monopole. Elle permet de rattraper les incidents les plus communs dans le son direct, dûs à des accidents (bruits de bouche ou de perche par exemple) ou des situations de tournage difficiles (rumble trop présent, buzz harmonique, etc.). C’est un outil de restauration sonore certes puissant mais qui demande aussi une bonne méthodologie, de prendre le temps, de comparer et tester les différents réglages avant de trouver des routines personnelles satisfaisantes. Par exemple, l’ordre des traitements dans la chaîne peut influer sur la qualité du résultat final. La maîtrise de RX demande un vrai temps de prise en main.
Il faut bien noter que RX n’est pas transparent et que le signal peut être altéré. Mais il faut également garder à l’esprit que le mix, le montage son des ambiances et la musique permettent de masquer ces artefacts résiduels.
De toute manière, ces traitements sont toujours réalisés sur des clips audio dupliqués dans la session de montage (les rushes de tournage ne sont évidemment jamais touchés) ; il est donc toujours possible, lors du mixage, de revenir sur le direct original si l’on estime que le traitement a été trop destructif sur le signal.
1) PRÉSENTATION GÉNÉRALE DE RX
La suite RX est composée :
- d’un logiciel “stand alone” (qui fonctionne donc seul, en mode natif), disponible aussi bien sur PC que Mac. Il est accessible depuis Pro Tools via le plugin RX Connect (AudioSuite > RX Connect > Send > On édite dans RX ce que l’on souhaite > Send Back > Render), en attaquant le monitoring de la session ouverte via un AUX avec le plugin RX Monitor en insert.
- de plugins disponibles dans plusieurs formats (AAX (64-bit), AU, RTAS (32-bit), VST, VST3) et notamment utilisables en Audiosuite dans Pro Tools. Attention, ces plugins ne reprennent que certaines des fonctionnalités présentes dans le logiciel.
La grande force de RX vient de son interface utilisateur, avec son spectrogramme, qui va nous permettre d’appliquer nos traitements selon les 3 informations représentées :
- le plan temporel (en échantillons, temps ou TC)
- le plan fréquentiel (échelle linéaire, échelles psychoacoustique mel/bark et échelles log et extended log)
- et le niveau d’intensité sonore (plus c’est jaune, plus il y a d’énergie à cet endroit)
Différents types de sélection sont disponibles dans la barre de tâche en-dessous du spectrogramme ou via des raccourcis clavier, très pratiques si l’on veut commencer à gagner du temps dans les opérations. Les plus classiques concernent le spectrogramme, sélection en fréquence, temporelle, ou les deux en même temps. Les 3 derniers modes de sélection se rapprochent de fonctionnalités des logiciels de retouches photo : le lasso (dessiner soit-même un contour progressif), la brosse (fonctionne comme une gomme) et la baguette magique (le logiciel propose une sélection “intelligente”).
Enfin, dans la partie droite de l’interface utilisateur, se trouvent les différentes fonctions que propose RX, classées en trois grandes catégories :
- Repair
- Utility
- Measurements
À cela s’ajoute le modul chain (C), qui permet d’automatiser une chaîne de traitements en les mettant les uns à la suite des autres avec les réglages que l’on souhaite, pratique si associé à la fonction de batch processing de RX pour traiter beaucoup de fichiers avec des problèmes redondants en très peu de temps et de manipulation.
2) PETITE TYPOLOGIE DES BRUITS DANS LA RESTAURATION SONORE
Il existe plusieurs types de bruits susceptibles d’être retirés ou atténués dans un son que l’on souhaite restaurer. On peut cependant distinguer trois grandes familles :
- les bruits parasites, brefs et à fort niveau, relativement complexes fréquentiellement et aléatoires dans le temps. Ils sont parfois de type « impulsionnels » (sur quelques samples, on parle alors de “clicks”, typiquement les bruits de bouche ou les clips numériques), parfois plus longs de quelques centaines de samples (“cracks/crackles”) et ciblés dans les basses fréquences (on parle alors de “thumps”, comme pour les bruits de perche ou de “rumbles” pour les bursts de saturation dûs à du vent ou un frottement de HF par exemple). Lorsque ces bruits sont nombreux mais mélangés et dispersés dans le temps, il est préférable de les traiter un par un en plusieurs passes, avec des réglages fréquentiels et des seuils de niveau et d’atténuation différents car, on le verra, à réglage égal, les différents modules de RX ne répondent pas de la même manière, selon la nature du signal.
- les hums ou “buzz harmoniques”, qui peuvent être par exemple d’origine magnétique ou électronique. Ils sont pour le plus souvent continus et surtout fréquentiellement définis sur une fondamentale et plusieurs harmoniques. On pense par exemple à la trace d’un générateur électrique ou d’un frigo.
- les souffles ou “bruits de fond”, parfois d’origine naturelle (décor bruyant) ou humaine (ventilation de la caméra, préamplis)
3) LES NOUVEAUTÉS RX7
RX7 propose l’édition en multicanal, jusqu’à 10 canaux en même temps (par onglet) [compatible 7.1.2 Dolby Atmos].
REPAIR ASSISTANT
C’est un assistant “intelligent” : il analyse le fichier audio puis propose des solutions de restauration aux problèmes qu’il détecte (bruits de perche, buzz, clicks, bruit de fond, saturation, etc.), puis permet le choix entre 3 chaînes de corrections possibles (pré-écoute et intensité ajustable). La chaîne de correction choisie peut être modifiée par l’utilisateur
En somme, c’est un équivalent automatique de la combinaison d’outils existants (“OPEN AS MODULE CHAIN”). Il facilite un travail à la chaîne et permet de régler vite et correctement une bonne partie des problèmes. Il est donc utile si on travaille dans l’urgence, mais ne remplace pas la qualité d’une restauration dont on maîtrise et contrôle chaque étape.
DIALOGUE DE-REVERB
Ce module permet de réduire les queues de réverb autour du dialogue. Il vient compléter l’ancien module “DE-REVERB”, peu efficace. DIALOGUE DE-REVERB est plus simple d’utilisation (moins de réglages obscurs à disposition) et plus performant que son prédécesseur.
DIALOGUE CONTOUR
C’est un réglage fin du pitch, qui donne notamment la possibilité de changer l’inflexion et le ton d’une voix (évidemment sans changer la durée de l’audio). Il permet donc de rattraper des incohérences d’inflexion dues au montage (en faisant baisser l’intonation de la voix pour créer une fin de phrase là où il n’y en avait pas, par exemple), ou des problèmes de jeu. Attention, il introduit très rapidement des artefacts.
VARIABLE TIME & VARIABLE PITCH
Ces deux modules viennent remplacer les anciens “TIME & PITCH”, en proposant des réglages plus fins et plus précis.
MUSIC REBALANCE
Il détecte et sépare les différents éléments d’une musique, en proposant de varier la balance entre ces éléments : voix, basse, percussion et autre (le reste). Il permet donc de faire une version instrumentale d’une chanson, ou d’isoler une voix en vue d’un remix. À noter que dès que les réverbs d’un morceau se juxtaposent (la voix dans la réverb des instruments par exemple), le module est moins efficace dans la séparation des éléments.
4) UTILISATION DE RX EN POST-PROD AUDIOVISUELLE
4.1) ZOOM SUR LE SPECTRAL REPAIR, OUTIL PHARE DE LA SUITE RX
Ce module répare les sons indésirables d’un audio, soit en les réduisant au niveau du bruit de fond, soit en les remplaçant par de l’audio situé autour ou encore en synthétisant de l’audio pour les remplacer. Il possède quatre modes différents :
ATTENUATE atténue le contenu spectral de la sélection pour correspondre au contenu spectral entourant la sélection (ce qui permet de ne pas laisser de “trou” audible). C’est le mode le plus utilisé.
REPLACE permet de remplacer les sections très endommagées (comme des trous dans le son). Il remplace complètement le sélection par une interpolation du signal audio qui l’entoure. Il est très efficace pour retirer des éléments ponctuels si le signal n’est pas trop complexe (si on veut enlever quelques oiseaux dans une ambiance relativement calme, par exemple).
PATTERN va chercher dans l’audio environnant la portion qui ressemble le plus à la sélection, et faire un remplacement. Il est utile pour les signaux répétitifs ou pour le bruit de fond.
PARTIAL+NOISE est une version avancée du module REPLACE. Il restaure les harmoniques de l’audio avec plus de précision, et propose une interpolation de meilleure qualité. Cela peut-être utile pour les cas où il y a des variations de pitch (vibrato par exemple).
Leurs paramètres fonctionnent sur le même modèle : on sélectionne le nombre de bandes de fréquences utilisées pour l’interpolation (de 128 à 4096). Plus il sera élevé, meilleure sera la résolution en fréquence (sur le plan vertical), et plus il sera bas, meilleure sera la résolution en temps (sur le plan horizontal). Ce choix du nombre de bandes va donc déterminer la précision avec laquelle le module va analyser la région autour de l’audio sélectionné, et donc influer sur le rendu du traitement. On peut ensuite affiner la région à analyser en la faisant plus ou moins longue (“SURROUNDING REGION LENGHT”) et en la définissant plutôt avant ou après l’audio sélectionné (“BEFORE/AFTER WEIGHTING”). Enfin, on choisit la puissance avec laquelle on veut appliquer le traitement (“STRENGHT”).
Le mode “MULTI-RESOLUTION”, lorsqu’il est enclenché, permet une meilleure résolution fréquentielle dans le bas du spectre ainsi qu’une meilleure résolution temporelle dans le haut du spectre. Il est donc utile si on veut travailler avec précision dans le bas du spectre.
En fonction du mode choisi et des paramètres, SPECTRAL REPAIR a des limites par rapport au temps d’audio qui peut être processé dans la sélection.
ATTENUATE en mode VERTICAL : illimité
ATTENUATE en mode HORIZONTAL ou 2D, REPLACE : 10s
PATTERN, PARTIAL+NOISE : 4s
Pour une utilisation encore plus flexible, on peut utiliser l’outil FIND SIMILAR pour chercher les similarités dans le fichier audio, avant d’appliquer le traitement choisi.
4.2) RESTAURATION DES BRUITS PARASITES
RX est notamment utilisé pour le montage des directs lors de la post-production son. Il permet de restaurer la plupart des bruits gênants, que ce soit des sons parasites ou des bruits de fond trop présents.
Les cas de restauration les plus rencontrés dans le milieu professionnel sont :
- les bruits de bouche, que l’on peut cibler et sélectionner très précisément avec les outils de sélection en temps/fréquence. On peut ensuite les traiter très efficacement et rapidement grâce au De-Click ou au Mouth De-Click. Le second module est un cas particulier du premier, dont le réglage d’usine correspond spécifiquement au traitement des bruits de bouche. On peut également les enlever “à la main” grâce aux outils “Attenuate” ou “Replace” du Spectral Repair, ou encore en les atténuant grâce à l’outil Gain.
- les clicks, qui peuvent être supprimés avec le De-Click, le De-Crackle ou le Mouth De-Click, en fonction de leur nature. L’outil Interpolate permet aussi de réparer les clicks individuels qui durent moins de 4000 samples. C’est une sorte d’alternative à l’outil “crayon” de ProTools.
- les bruits de proximité, comme les plosives ou les chuintantes dues à l’ultra proximité peuvent être traitées grâce à des outils spécifiques comme le De-Plosive ou le De-Ess, ou encore une fois de façon plus manuelle avec le Spectral Repair ou l’outil Gain. À noter que le De-Wind est très efficace pour éliminer les bruits de vent (comme son nom l’indique) ou autres “saturations” dans le grave, mais il ne fonctionne bien que dans les basses fréquences.
- les buzz, dûs aux installations électriques, peuvent être éliminés, soit en les sélectionnant précisément et en les supprimant ou en les atténuant fortement (couper l’audio, outil Gain, Spectral Repair…), soit en utilisant l’outil De-Hum. Il repère automatiquement les fréquences à éliminer, ainsi que les harmoniques, et offre une grande flexibilité de traitement, pour atténuer plus ou moins telle ou telle harmonique.
- la saturation, numérique ou analogique, du signal, qui peut être enlevée si elle n’est pas trop forte, grâce à l’outil De-Clip. Celui-ci permet de reconstruire par interpolation le signal écrêté, en offrant la possibilité de traiter séparément la partie positive et la partie négative du signal.
- les frottements de vêtement sur les HFs peuvent être bien atténués, voire éliminés, grâce à l’outil De-Rustle. Cette utilisation sera d’autant plus efficace si on ne l’applique que sur le haut du spectre, où lesdits frottements sont les plus gênants.
- l’atténuation, voire la suppression, du bruit de fond. Plusieurs outils sont disponibles pour cette fonction, chacun étant plus ou moins utile en fonction du signal à nettoyer et de la composition du bruit de fond. Le Spectral De-Noise est très efficace et complet, car il permet de maîtriser la balance entre le bruit tonal ou “noisy” que l’on va enlever. Néanmoins, il aura souvent tendance à beaucoup abîmer la voix.
- Le Voice De-Noise, comme son nom l’indique, va être plus indulgent envers la voix lors de ses traitements. Il fonctionne comme un Cedar, bien connu dans les audis de mix, mais avec 64 bandes à disposition. Il propose un mode d’action doux (“Gentle Mode”), et un autre plus agressif (“Surgical Mode”), qui fait plus de sacrifices au niveau du timbre. À noter que pour apprendre le profil du bruit de fond pour ces deux modules, on peut faire des sélections multiples, ou ne sélectionner, et donc corriger qu’une partie du spectre. Cela peut s’avérer utile pour nettoyer un bruit de fond gênant dans le grave, sans trop abîmer les dialogues. L’outil Deconstruct analyse la structure harmonique de l’audio et le décompose en 3 composantes : tonal, bruit, transitoire (optionnel).
- Chaque composante peut ensuite être supprimée ou boostée grâce à un potentiomètre de gain, ce qui est plus efficace qu’un de-noiser pour certains cas. Enfin, l’outil Dialogue Isolate, qui est fait spécifiquement pour isoler la voix du reste du bruit de fond, puis pour contrôler le niveau de l’un par rapport à l’autre. Il nécessite peu de réglages et est assez intuitif, pour des résultats plutôt convaincants.
Voici également quelques outils qui s’avèrent très utiles, en montage son ou paroles :
- Ambiance Match, qui analyse le fond sonore d’un audio et en fait une capture. Celle-ci permet alors de générer des fonds d’air raccords, utiles pour intégrer des post-synchronisations ou faire des bouchages.
- EQ Match, qui fait correspondre l'égalisation spectrale d’un audio à un autre dont on aura fait la capture. C’est très intéressant pour donner la “couleur” du direct à un signal enregistré en studio, pour intégrer les post-synchros par exemple.
- l’outil Gain, qui est un simple gain, mais dont l’avantage est que l’on peut l’appliquer sur des sélections précises de fréquences. Il peut remplacer le “Attenuate” du Spectral Repair, avec l’avantage de ne pas abîmer le signal autour de la sélection (car c’est un simple gain et non un traitement processé). Il peut également permettre de faire ressortir des éléments d’un signal audio (rendre plus présents des bruits ponctuels, comme des oiseaux, des klaxons, etc.).
Ce n’est évidemment pas une liste exhaustive de toutes les pratiques de restauration sonore grâce à RX utilisées dans le monde professionnel. Mais cela serait très compliqué à représenter, car chaque traitement dépend de la matière et de celui qui va l’appliquer. Il y a très souvent plusieurs façons d’arriver à un résultat propre et satisfaisant grâce aux différents outils proposés par RX.
La plupart des outils permettent aussi d’aller plus loin que leur fonction de base (la restauration), et donner des résultats intéressants de “sound design” si on détourne leur utilisation (comme le Deconstruct, le Partials+Noise du Spectral Repair, le Gain…).
5) QUELQUES RACCOURCIS UTILES
L’utilisation de RX s’approche fortement de celle de Photoshop, et propose les même types de fonctionnalités.
Parmi les plus utiles :
- Désélectionner = Cmd+D, re-sélectionner = Shift+Cmd+D
- Renvoyer dans Pro Tools = Cmd+Enter
- Copier/Coller (Cmd+C / Cmd+V) d’une partie du spectre (si sélection de tout le spectre, coller avec Cmd+Alt+Shift+V)
Sélection et copier (Cmd+C)
Coller (Cmd+V)
- Couper l’audio (Cmd+X)
- Faire du silence (Shift+S)
Pour les copier/coller spéciaux, le clic droit peut faire apparaître :
- Insérer de l’audio (Cmd+Alt+V) - après avoir fait un Cmd+C sur une partie du spectre
- Mixer l’audio du clipboard (Cmd+C) avec l’audio sélectionné (Shift+V)
- Inverser la phase de l’audio du clipboard et le mixer avec l’audio sélectionné (Alt+V) - utile si on veut faire la différence entre deux signaux
- Faire une copie restreinte sur une sélection, même si l’audio dans le clipboard est plus long (Alt+Shift+V) - à noter que si l’audio est plus long que la sélection, il sera taillé, et que si il est plus court, du silence sera inclus pour combler le temps manquant
- Inverser la sélection (temporelle et fréquentielle) = Shift+Cmd+i, inverser la sélection de fréquences = Cmd+i
Le clic droit sur le spectrogramme donne accès à de nombreuses fonctionnalités
D'autres raccourcis utiles :
- Preview = Shift+Spacebar, Bypass Preview = Shift+B
- Clic droit + Learn / Render = accès aux raccourcis de Learn et de Render
- Baguette magique + Double-clic = sélectionne les harmoniques
Et pour accéder encore plus vite aux outils de sélection :
- T = sélection temporelle
- R = sélection temps/fréquence
- F = sélection en fréquence
- L = lasso
- B = pinceau (brush), et rester cliqué sur l’icône du pinceau pour changer son diamètre
- W = baguette magique (wand)
On peut customiser ses propres raccourcis, chose toujours bonne à savoir (Help > Keyboard Shortcuts).
Dans la même veine, on peut enregistrer des presets pour chaque module.
Pour plus d’informations et de détails, la doc de RX7 proposée par iZotope est très complète. Vous pouvez y accéder ici ou via Help > Launch Help dans votre logiciel RX.
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